Article de La Nouvelle République du 26 avril 2017. La fédération de pêche mène des observations sur la présence de poissons dans le site d’eau vive de l’île Balzac. Des migrateurs sont bien dans le Cher.
Sous la pagaie des kayakistes, carpes et autres sandres s’en donnent à cœur joie dans le bassin d’eau vive du Cher, à l’extrémité de l’île Balzac. Une population piscicole que la fédération pour la pêche et la protection du milieu aquatique a décidé d’observer avec l’objectif avoué d’y trouver des poissons migrateurs. « L’alose, l’anguille et la lamproie », confirme Grégoire Ricou, chargé d’études… Lire la suite de l’article sur www.lanouvellerepublique.fr